Mais à Saint-Hippolyte, ici, là, ce que je me rappelle, là, bien, c’était l’ancienne bâtisse, ici, là, qui avait… tu sais, ce qu’ils ont fait pour les personnes âgées, qui a été démoli pour la bibliothèque. Ça je me rappelle de ça. Mais je me rappelle, avant cette bâtisse-là, que c’était un monsieur Blondin qui tenait ça, puis c’est là qu’il y avait la banque, et puis même, je pense, qu’il y avait une pharmacie. Ça je me rappelle de ça aussi. Puis il me semble qu’il y a eu une tank à gaz, aussi, à un moment donné. Je crois que j’étais dans la vingtaine. Ça fait au moins 60 ans de ça. Puis, il y avait l’hôtel Central à Saint-Hippolyte. Ça, je me rappelle de ça aussi, quand j’étais dans la vingtaine. Ça fonctionnait en titi. Puis, je suis allé là à plusieurs reprises pour danser. La population quintuplait l’été par rapport aux touristes, là.
Puis, il y avait, je me rappelle aussi, du petit bureau de poste. M. Dagenais qui tenait le bureau de poste à côté de l’hôtel Central. Ça, c’est pas d’hier, ça non plus… avec sa femme, là, dans le temps. Par la suite, bien, c’est sûr qu’il y a le marché, ici, Bonichoix, qui a grossi, parce que c’était beaucoup plus petit que ça dans le temps, là. Puis je me rappelle aussi que, vis-à-vis, ici, l’hôtel de ville, là, bien, c’était une salle paroissiale. J’ai été voir des films, là, quand j’avais 15, 16 ans. Ils faisaient les petits… les vendredis soirs, les samedis soirs, là… des petites soirées, là, si vous voulez. Puis ils projetaient des films, là. Puis j’avais un copain, au lac Connelly. C’est son père qui m’a amené, un dénommé Boulanger. C’est son père qui nous amenait tous les deux, là. Puis je me rappelle que j’aimais pas ça. Il allait trop vite. Il roulait vite, c’était effrayant. Il me faisait peur. Mais on est venus à plusieurs reprises pour voir ça. Puis je me rappelle très bien de cette salle communautaire, là, qu’il y avait dans ce temps-là. Ça a été détruit pour l’hôtel de ville, j’imagine, par la suite.