L’artiste s’est inspiré des monolithes des îles Mingan au Québec dont les formes et positions sont façonnées par le temps et les vents.
La sculpture illustre la longue et lente transformation de la pierre au fil des siècles : la naissance par la terre, la torsion, la fragmentation et le renouveau illustré par l’enchâssement de ce cube de métal, tout cela sur 16 pieds de hauteur.
Pour l'artiste, c'est aussi un parallèle avec notre vie d’humain.
Comme cette pierre nous sommes façonnés par les éléments : les tourbillons de la vie, les cassures, les changements.
Si l’on se place côté rue, lorsque le ciel est bleu, le métal disparaît de notre vue et donne une impression que le « chapeau de pierre » flotte au-dessus du monolithe.