Lorsque le conseil foncier s’est réuni en 1791 pour fixer les limites de la ville de Newark, ils voulaient une taverne (un logement social) et une Loge Maçonnique construite, les deux construits l’un à côté de l’autre. A ce temps-là il y avait deux loges dans la région, Newark (Loge St. John, n. 19) et Queenston (St. John, Loge d’Amitié, n.2) mais leur histoire d’origine, beaucoup comme celle de la Maçonnerie dans le sud de l’Ontario, provient du Fort Niagara et les Loges établies là. Lorsque les deux loges se sont unies, elles ont reçu leur mandat comme Loge n. 2, qui fut émis par Sir William Jarvis, Grand Maitre Provincial du Haut-Canada, en 1795, et la loge a été en service depuis ce temps-là. Jarvis a passé beaucoup de son temps à Newark, la Première Capitale du Haut-Canada, comme membre du Conseil Exécutif de l’Assemblée Législative et fut impliqué dans la maçonnerie pendant qu’il était là. Il fut installé en 1792 comme le Grand Maitre de la Loge St. John n.19.
Lorque la Loi pour Limiter l’Esclavage a été proposée, Jarvis, un des 12 hommes sur le Conseil Exécutif qui possédaient des esclaves, un d’entre eux étant Henry Lewis. Lorsqu’il était à Newark, Henry a fui l’esclavage à New York et en 1798, Henry a écrit à William Jarvis demandant s’il pouvait acheter sa propre liberté. Henry a écrit : « Mon désir à me soutenir comme un homme libre et de jouir de tous les avantages qui pourraient être le résultat de ma liberté dans un pays où un home noir est défendu par les lois autant qu’un homme blanc me cause à vous demander si je pourrais m’acheter moi-même….la raison pour laquelle j’ai quitté votre maison est parce que votre femme [Hannah} m’a tellement vexé que c’est trop pour un homme à soutenir, c’est vrai et je vais dire à tout le monde que j’ai toujours aussi bien vécu dans votre maison que j’aurais souhaité ».